Comment repenser l'accueil du public, tout en conservant la proximité qui caractérise les services publics locaux ? Quelles méthodes de travail pour favoriser la collaboration entre équipes et entre collectivités ? Accélérateur d'innovation pour les agents territoriaux, le Fonds MNT offre aux collectivités la possibilité de bénéficier d'une aide concrète, sous forme de mécénat de compétences, pour faire évoluer l'action publique locale et le métier d'agent territorial.

Lancé mi-avril, un sixième appel à candidature est ouvert jusqu'au 24 mai. Le jury se réunira une nouvelle fois en juin pour sélectionner des projets. Lancé en octobre 2020, en partenariat avec le SNDGCT et l’AMF, le Fonds MNT encourage les acteurs du service public à faire évoluer leurs conditions de travail ou à améliorer le service rendu aux usagers. Avec le soutien de leur direction, décideurs et agents territoriaux peuvent ainsi déposer leurs initiatives innovantes directement en ligne sur fonds.mnt.fr.

Elles sont ensuite examinées par un jury qui en sélectionne deux à quatre, à chaque fois. Les équipes concernées sont alors accompagnées pendant environ cinq mois par le Fonds MNT. L’objectif final ? Communiquer sur ces innovations auprès de toutes les collectivités afin qu’elles puissent être reproduites ou adaptées dans d’autres territoires et que le service public de proximité devienne, in fine, toujours plus utile !

Le Fonds MNT, accélérateur d'innovation pour les agents territoriaux

Le Fonds MNT offre donc aux acteurs des services publics locaux un accompagnement humain et opérationnel pour porter des projets de transformation au sein de leur administration. Depuis sa création, treize initiatives ont déjà été accompagnées ou sont en cours d'accompagnement par le Fonds MNT :

La ville de Paris (75) qui a réaménagé l'accueil des jeunes mineurs non accompagnés et des jeunes majeurs.

La commune de Flassans-sur-Issole (83) qui a transformé l'accueil de ses usagers.

La ville de Pessac (33) qui a repensé sa stratégie d'accueil téléphonique.

La commune de Renac (35) qui cherche à redynamiser son bourg en créant de nouveaux liens de socialisation et de convivialité.

Le conseil départemental de l'Allier (03) qui souhaite repenser l'accueil extérieur de sa Maison des solidarités.

La commune de Saint-Amand-en-Puisaye (58) qui veut transformer sa bibliothèque en un pôle culturel et social.

Le Service départemental d’incendie et de secours du Calvados (14) qui souhaite mieux prendre en charge les victimes sourdes et malentendantes.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau (34) qui veut repenser ses opérations de sensibilisation du grand public aux cours d’eau, milieux sensibles et patrimoine vivant.

Le centre de gestion des Deux-Sèvres (79) qui cherche à réinventer son offre de services RH en complémentarité avec les intercommunalités.

La ville d’Hazebrouck (59) qui souhaite lutter contre l’absentéisme

La Haute Corrèze communauté (19) qui veut renforcer une démocratie participative

La ville de Pont de Claix (38) pour l'évaluation de la qualité de son accueil

Le centre de gestion de la FPT de l'Oise (60) pour sa bourse de mobilité.

Ces solutions sont ensuite diffusées à l’ensemble des collectivités territoriales pour pouvoir être adaptées ou dupliquées dans d’autres territoires.

Pensez à en parler dans votre collectivité ! Ce sixième appel à projets est ouvert jusqu'au 24 mai 2024. Pour en savoir plus ou participer, rendez-vous sur fonds.mnt.fr.

Fonds MNT appel à candidature 2024 - Changeons vos idées en projets

Fonds MNT : lancement d'un sixième appel à candidature

Lancé fin 2020, le Fonds MNT encourage les acteurs du service public à améliorer le service rendu aux usagers et à faire évoluer leurs conditions de travail. Depuis sa création, il a accompagné treize projets. Le sixième appel à candidature a débuté le 16 avril 2024. Les dossiers peuvent être déposés jusqu'au 24 mai.

Fonds MNT : sixième appel à projets

Je suis rentré comme apprenti à la mairie de Biarritz (64) dans le cadre de mon bac pro "travaux paysagers". C’était il y a plus de 25 ans et je suis toujours là. Au fil des années, j’ai évolué et aujourd’hui j’encadre une équipe de cinq agents en charge de la production, de la décoration et des compositions florales.

Quel a été jusqu’ici votre parcours au service "Parcs et Jardins" de Biarritz ? 

Une partie de notre travail consiste à recevoir et préparer les végétaux que nos collègues vont planter. Mais depuis deux ans, nous nous sommes également lancés dans notre propre production florale pour assurer les fleurissements d’été et d’hiver des massifs de la ville. Nous avons aussi un rôle de fleuriste puisque nous nous occupons des compositions florales pour habiller les événements et décorer le hall de la mairie.

Quelles sont les missions de votre équipe ? 

J’ai vraiment la chance de "m’éclater". Travailler sur du vivant, le voir s’épanouir, le conserver en bonne santé, c’est très gratifiant. Et dans le Sud-Ouest, le climat nous permet d’avoir un large choix de végétaux. Il n’y a pas non plus de monotonie. Mes missions évoluent. La façon de travailler aussi. Nous sommes par exemple passé au "zéro phyto". Dans les serres, nous avons adopté la production biologique intégrée, avec par exemple l’utilisation d’insectes pour détruire les nuisibles.

Toujours aussi motivé après toutes ces années ?

Oui et c’est aussi cela qui rend ce métier passionnant. L’idée de cultiver nos propres plants vient de l’équipe. Nous avons également mis en place un "hôpital" pour les orchidées mal en point que nous récupérons dans les bureaux. Et nous étudions actuellement un projet de conception et de construction de structures métalliques pour agrémenter nos décorations.

Avez-vous la possibilité d’innover, de proposer des initiatives ? 

Ce que j’aime dans le travail au sein de la fonction publique territoriale, c’est qu’on est là pour apporter du bonheur à toute une ville. Du fait de la beauté des jardins et la beauté des plantes, on peut partager ce qu’on sait faire à grande échelle et on a un retour direct des Biarrots qui nous interpellent sur le terrain.

Pourquoi est-ce important d’exercer votre métier au sein de la fonction publique territoriale ?

C’était super sympa ! Au départ, j’ai surtout fait ça par curiosité, mais quand j’ai vu les affiches, j’ai aussi été très fier de mettre en avant notre travail.

Comment avez-vous vécu votre expérience de modèle pour la MNT ?

Peio, agent des espaces verts de la mairie de Biarritz

Peio Leon est l’une des figures emblématiques de la nouvelle campagne MNT et du service "Parcs et Jardins" de la mairie de Biarritz. Agent des espaces verts à la commune depuis plus de 25 ans, il partage avec nous sa passion pour son métier et sa fierté d’agent de la fonction publique territoriale.

Témoignage - Agent des espaces verts, apporter du bonheur à toute une ville

Agent des espaces verts, apporter du bonheur à toute une ville

J’ai d’abord été animatrice dans le milieu scolaire et périscolaire pendant une quinzaine d’années. C’est un métier que j’ai adoré. Les enfants sont une formidable source d’inspiration et j’ai beaucoup appris avec eux. A commencer par développer des trésors de patience, mieux écouter et savoir relativiser.

Quel est votre parcours dans la fonction publique territoriale ? 

Oui. En 2021, à la suite de problèmes de santé, j’ai dû envisager un reclassement. J’ai alors postulé au nouveau service de la ville de Biarritz : "Allô Madame le Maire". Il fallait bien connaître la ville et savoir faire preuve d’empathie. J’avais effectivement le bon profil.

Des compétences particulièrement adaptées à votre nouveau poste ?

On traite de la "bobologie" de Biarritz. Concrètement, on s’occupe de tous les petits soucis que l’on peut avoir sur la voirie : pannes d’éclairage, nids de poule, déjections canines, encombrants, dépôts sauvages, arbre tombé… Dès qu’un problème est signalé, je lance un ordre de travail à mes collègues techniciens. L’un d’eux va sur place pour prendre des photos, évaluer la gravité du signalement et organise l’intervention des services techniques. Cela va généralement assez vite mais cela dépend bien sûr de la complexité du problème à gérer et du degré d’urgence.

Que propose le service "Allô Madame le Maire" ?

C’est un métier très varié puisqu’avec ma collègue, nous gérons également le Guichet Unique qui s’occupe des abonnements de stationnement, des paiements de cantine, des rendez-vous d'état civil… Mais ce que j’aime avant tout c’est de pouvoir aider, de pouvoir être utile aux gens, même s’ils peuvent être durs. Ce que j’adore, c’est de voir entrer des personnes énervées, en colère ou inquiètes, et de les voir repartir avec le sourire. C’est aussi un vrai travail d’équipe, avec une super ambiance et des collègues très soudés et très solidaires.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce métier ?

Oui. Il y a toujours une marge de manœuvre pour améliorer les choses. En ce qui me concerne, j’ai par exemple pris sur moi de créer des guides d’utilisation de logiciels pour les personnes qui prennent le relais pendant les vacances. Je participe aussi aux réunions publiques pour mieux entendre les attentes des usagers.

Un métier qui laisse de la place aux initiatives ?

L’équipe de tournage était super, très gentille, très bienveillante. Moi qui suis plutôt quelqu’un qui fuit les photos, j’avoue que j’ai quand même été à la limite de la crise cardiaque quand je me suis vue en grand en affiche et en double page dans le journal Sud-Ouest. Sans parler de mon fils qui m’a dit qu’il m’avait vue au cinéma.

Comment avez-vous vécu l’expérience de "modèle" pour la campagne de publicité MNT ?

Sonia Hinajosa, agent d’accueil à la mairie de Biarritz

Sonia Hinajosa est l’un des visages de la nouvelle campagne MNT. Elle est surtout l’une des voix du service "Allô Madame le Maire" bien connue des Biarrots. Elle partage avec nous son regard sur son métier et ses missions et revient sur son expérience de "modèle" pour le nouveau territoire de marque de la MNT.

Témoignage - Agent d’accueil, un métier varié et utile

Cela me tenait vraiment à cœur de mettre en lumière mon métier d’ATSEM. Je trouve que nous sommes très mal considérées. Beaucoup de parents pensent qu’on ne fait pas grand-chose, mais la plupart d’entre eux ne tiendraient pas 30 minutes à notre place. En réalité, sans nous, même les enseignants seraient perdus. C’est un vrai travail d’équipe.

Pourquoi avoir accepté de participer à la campagne d'image de la MNT ?

Nos journées commencent vers 7h30 avec l’accueil des enfants. Nous montons ensuite dans les classes où nous animons les activités avec l’institutrice : ateliers, jeux d’éveil, jeux de société, peinture apprentissage de la lecture et de l’écriture... A Saint Exupéry, chaque ATSEM accompagne 12 élèves. Nous nous occupons également de la surveillance des récréations et de la cantine. La journée se termine vers 16h30.

J’avoue que par moment, j'ai du mal à supporter les cris et les bruits. Et le comportement des enfants ne s’est pas arrangé. Ils écoutent de moins en moins. Je trouve aussi qu’il y a de plus en plus d’enfants avec des troubles du développement. Mais j’adore toujours autant m’occuper d’eux ! C’est ce que j’ai toujours voulu faire. Et puis, je m’entends vraiment très bien avec mes collègues ATSEM et les institutrices. On se sert les coudes.

Vous avez commencé votre carrière d’ATSEM en 1991. Toujours aussi motivée après toutes ces années ?

Je pensais que cela prendrait 10 minutes mais j’ai découvert qu’il fallait plus de temps pour prendre une belle photo. J’étais un peu stressée au début mais finalement j’ai trouvé l’expérience très sympa.

Comment avez-vous vécu cette expérience de mannequin ?

Témoignage de Maryse Michineau, ATSEM (agent territorial spécialisé des écoles maternelles) à l’école Saint-Exupéry de Sarcelles (93) depuis plus de 30 ans. Un véritable métier-passion dont elle parle avec fierté et qu’elle défend avec conviction. Maryse est aussi l'un des visages de la nouvelle campagne d'image de la MNT.

Témoignage - ATSEM, un métier mal considéré

Douze collectivités locales se sont portées candidates au Fonds MNT cette année ! Une première pour l’initiative lancée par la MNT en 2020, et « une belle preuve de l’intérêt grandissant que portent les collectivités locales à cette démarche » selon Damien Guiguet, président du Fonds MNT, qui ajoute : « Le choix a été difficile tant les projets proposés étaient de qualité ! Nous nous réjouissons de leur variété et de leur intérêt et aussi du fait que tous mettaient l’humain au centre de l’action publique. Ils démontrent ainsi l’utilité du Fonds, véritable soutien à la créativité pour les acteurs locaux ! »

Le Fonds MNT entend favoriser l’innovation dans les services publics locaux en s’appuyant sur l’expérience partagée des agents, leur sens de l’inventivité et le vécu des usagers. Par son action, il démontre toute la pertinence des valeurs mutualistes au sein duquel s’inscrit la MNT qui consacre une partie de ses excédents à apporter des réponses aux enjeux majeurs auxquels sont confrontés les acteurs du monde territorial.

Le Fonds MNT a choisi les projets de la ville d’Hazebrouck et du centre de gestion de la FPT de l'Oise (CDG 60) qui font tous deux face à des problématiques RH. Avec un taux d’absentéisme moyen estimé à 9,6 % en 2021 (source : Panorama 2022 - Qualité de vie au travail et santé des agents dans les collectivités territoriales, par Sofaxis), la maîtrise de ce risque représente l’un des défis majeurs que doit relever la fonction publique territoriale. C’est pourquoi la ville d’Hazebrouck a fait appel au fonds pour l’aider à lutter contre ce phénomène avec notamment le développement de nouvelles dynamiques managériales. 

Dispositifs novateurs au service des RH...

Le deuxième accompagnement aura pour objet la création au sein du CDG 60, d’une "bourse de mobilité", une plateforme novatrice dédiée à l’immersion. L’objectif de cette interface entre les candidats et les employeurs sera de faciliter la reconversion professionnelle de tous les agents pour satisfaire leurs besoins d’évolution professionnelle.

Le Fonds MNT accompagnera également la Haute Corrèze communauté dans sa volonté de conforter la démocratie participative. Cette communauté de communes au territoire très étendu ambitionne de renforcer les liens entre ses 500 élus locaux afin qu’ils soient intégrés de manière systémique dans chaque décision que devra prendre la collectivité.

Haute Corrèze communauté et Pont de Claix...

Enfin, le Fonds MNT a désigné la ville de Pont de Claix comme lauréate. Le fonds soutiendra la municipalité dans sa volonté d’amélioration continue de ses services en concevant des outils qui lui permettront d’évaluer la qualité de son accueil aux usagers. Ce projet permettra de construire une méthode et un cadre qui pourra être ensuite dupliqué dans d’autres collectivités.

... renforcer les liens entre la collectivité et ses habitants

Avec le soutien de ses partenaires, l’Association des maires et des présidents d’intercommunalité de France (AMF) et le Syndicat national des directeurs généraux des collectivités territoriales (SNDGCT), le Fonds MNT a déjà soutenu neuf projets.

Fonds MNT : accélérateur d'innovation pour les agents territoriaux

Le jury du Fonds MNT s’est réuni le 23 juin 2023 pour auditionner les collectivités locales, candidates à son dernier appel à projets. Il a finalement sélectionné les villes d’Hazebrouck (59) et de Pont de Claix (38), la Haute Corrèze communauté (19) et le centre de gestion de l’Oise (60) comme lauréats d’une aide du fonds à la concrétisation de leurs projets. Ressources humaines, démocratie participative et amélioration de la qualité de l'accueil sont au programme des prochains accompagnements.

Quatre nouveaux lauréats pour le Fonds MNT

« J’ai commencé à exercer ce métier par hasard, mais je l’ai continué par choix », déclare Catherine, agente du centre communal d’action sociale (CCAS) et de la maison des services et de la solidarité de la ville de Gannat dans l’Allier (03). Elle accompagne les plus fragiles depuis plus de 15 ans, et intervient auprès d’une vingtaine de personnes de plus de 70 ans bénéficiant de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). « Cela représente une dizaine de personnes à voir tous les jours, certaines pour une demi-heure, d’autres pour trois heures, selon leurs besoins. »

Les missions de l’auxiliaire de vie sont très diversifiées. Elle aide les personnes dépendantes en facilitant le lever, le coucher, la toilette, les soins d’hygiène… Elle assure aussi la préparation et la prise des repas, les travaux ménagers, les courses, ou encore les tâches administratives. « Chaque aidé a des besoins différents. Certains comptent sur moi pour tout, de la toilette du matin au dîner, d’autres ont juste besoin d’un passage pour effectuer le suivi de certaines tâches », raconte Catherine. Pour elle, la proximité n’est pas un vain mot. « Je rentre dans l’intimité d’une vie. Je sais comment est organisée la maison, je lance la lessive, je fais la liste des courses… »

7 heures : Catherine se rend chez l’aidé équipée de son matériel sanitaire : gants, masques, blouse…

12 heures : C’est l’heure de mettre la table et d’accompagner la personne lors de son repas.

15 heures : Après avoir fait l’inventaire du réfrigérateur, Catherine fait les courses nécessaires pour l’aidé.

Plus qu’une personne fragile, c’est souvent toute une famille que Catherine aide. « Les familles se reposent sur nous, c’est un vrai soulagement pour elles. » Se sentir utile pour une famille entière est très valorisant. Mais pas seulement : « Le contact privilégié avec mes aidés est très précieux pour moi. On se connaît depuis des années, on entretient une réelle complicité et ils me témoignent beaucoup de reconnaissance et de gratitude. »

Le repère pour les aidés et leur famille, c'est nous !

Ce métier qui la mène sur les routes – près de 60 kilomètres parcourus par semaine – peut être vécu dans la solitude. « Je suis en lien avec notre responsable de service du CCAS mais il est vrai que parfois, face à la détresse ou l’urgence, je peux me sentir un peu démunie. » Mais, avec l’expérience et la maturité, Catherine a beaucoup appris et surtout gagné en confiance et en solidité pour rester positive en toutes circonstances.

Chaque aidé a des besoins différents. Certains comptent sur moi pour tout, de la toilette du matin au dîner, d’autres ont juste besoin d’un passage pour effectuer le suivi de certaines tâches. Je rentre dans l’intimité d’une vie. Je sais comment est organisée la maison, je lance la lessive, je fais la liste des courses… »

auxiliaire de vie sociale au CCAS et à la maison des services et de la solidarité de Gannat

Nombre total de personnes auprès desquelles intervient l’auxiliaire de vie. Elle visite en moyenne 10 personnes par jour.

La MNT a sorti la 28e étude de son Observatoire intitulée : Les métiers territoriaux du grand âge, des professionnels du lien en attente de stabilité. Elle donne la parole aux agents territoriaux du secteur et propose des recommandations pour faire face à la crise des vocations et à l’usure des professionnels. Pour télécharger le cahier de septembre 2022, rendez-vous sur la page de l'Observatoire MNT.

Au plus près des métiers territoriaux du grand âge 

Une équipe MNT dédiée via son assisteur RMA répond aux questions des adhérents pour les aider :

- à aménager leur activité professionnelle si besoin,
- à prévoir des financements,
- à trouver des solutions d’hébergements médicalisés,
- à leur apporter un soutien psychologique ou juridique.

Plus d'infos sur la page MNT Accompagnement des aidants. 

Le Groupe VYV propose aussi un accompagnement à travers sa plateforme Objectif autonomie pour aider à la fois les personnes fragiles et leurs proches aidants.

En partenariat avec SeniorAdom, la MNT propose à ses adhérents des services de téléassistance disponibles de jour comme de nuit pour les protéger et rassurer leurs proches.

La MNT et le Groupe VYV aux côtés des aidants 

Reportage sur une auxiliaire de vie sociale, Catherine Le Page, agente du CCAS et de la maison des services et de la solidarité de Gannat (Allier). Un soutien quotidien pour des personnes en perte d’autonomie, un métier exercé avec passion.

Catherine, auxiliaire de vie au service des plus fragiles

Agent territorial

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